Gildwiller1918 Posted January 30, 2023 Author Share Posted January 30, 2023 Austrian troops, circa 1917, with a 3.7 cm Infanteriegeschütz M.15. This weapon had a rate of fire of 20 rounds per minute and a range of 2,000 meters. 5 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted February 5, 2023 Share Posted February 5, 2023 Lavishly decorated and equipped dugout of a German Artillery officer (sic) on the Western Front. The officer none other than Manfred Albrecht Freiherr von Richthofen*. Note his father's portrait on the wall - Major Albrecht Philipp Karl Julius Freiherr von Richthofen. The location, likely the 1st floor room by the entrance of Sint Niklaas hospital in Kortrijk. *Probably a relative due to likeness. The portrait on the wall is of Hindenburg A messenger dog being prepared for a message delivery by two soldiers (of the 81st and 67th Infantry Regiments). A dog on patrol with his handler. A messenger dog running through a shell explosion. Highly decorated NCO of the 119th Infantry Regiment* in front of his dugout, complete with floral decorations. Note names of inhabitants on both sides - Unteroffizier Böcker; Koßmann (rank unknown); and Vizefeldwebel Böder. He is very likely one of them. *Reserve-Infanterie-Regt.119 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted February 11, 2023 Share Posted February 11, 2023 Regimentsbüro 1899. Most likely Badisches Leibgrenadier-Regt.109. Note Feldwebel in foreground. ( Wehrgeschichtliches Museum Rastatt) 5 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted February 28, 2023 Share Posted February 28, 2023 Australian and Portuguese prisoners brought by the German merchant raider SMS Wolf on her return to Kiel after fifteen months' cruise (in South-East Asia theatre), 24 February 1918. 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted March 2, 2023 Share Posted March 2, 2023 Leibgarde Husaren, pre-war manoeuvre scene 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted March 15, 2023 Share Posted March 15, 2023 Argonne, Grandpré, la brasserie 5 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
paulchen Posted June 25, 2023 Share Posted June 25, 2023 3 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
paulchen Posted July 1, 2023 Share Posted July 1, 2023 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
paulchen Posted August 2, 2023 Share Posted August 2, 2023 Schleswig-Holsteinisches Ulanen-Regiment 15 Attaque du four à chaux à la carrière de Champigny, le 2 décembre 1870. Une attaque surprise, Metz, 1870. (Alphonse Marie de Neuville) Le salut (De Neuville) 1866. Guerre austro-prussienne. Les gouvernements des Etats les plus importants de l’Allemagne prirent parti pour l’Autriche, c’étaient : La Bavière, le Wurtemberg, la Saxe, le Hanovre, Bade malgré lui, la Hesse-Cassel, la Hesse-Darmstadt, Nassau, la Saxe-Meiningen, Reuss-Greiz et Francfort-sur-le-Mein. L’accroissement de forces mobiles que pouvaient apporter ces Etats était estimé très haut, avant la guerre à 180000 hommes d'infanterie et de cavalerie, avec 400 bouches à feu. Les alliés allemands de la Prusse étaient la plupart des petits Etats de Thuringe : Brunswick, Mecklembourg, Oldenbourg, Anhalt, Lippe, Waldeck et les villes hanséatiques. L'accroissement de forces qu'elle en recevait était peu important, et d’environ 30000 hommes d'infanterie et de cavalerie, avec 30 à 40 bouches à feu. Une alliance bien autrement précieuse pour la Prusse, c'est celle qui fût conclue le 8 avril avec le royaume d'Italie. L'Italie pouvait mettre en campagne environ 240000 hommes d’infanterie et de cavalerie, avec 480 canons. Elle avait en outre sa flotte. L’alliance de la Prusse avec l’Italie imposait à l’Autriche deux guerres à la fois. Depuis 1862, la Prusse avait avec l’Italie les meilleurs rapports, et, en 1865, malgré l’opposition des Etats secondaires de l’Allemagne, elle avait fait conclure entre le Zollverein et l’Italie un traité de commerce avantageux pour les deux partis. Une fois engagée sur ce terrain, il n’était pas difficile à la Prusse de conclure avec l'Italie une alliance militaire, car le royaume italien brûlait d’acquérir la Vénétie, que Napoléon III n’avait pu lui donner en 1859, malgré ses promesses. (W Rüstow) Soldats wurtembergeois en 1866. Défense de la porte de Longboyau, château de Buzenval, 21 octobre 1870 (De Neuville) Cavaliers prussiens (ulans) en Alsace en 1870. Allemands à Nancy. 1870-1871. Il y a cinq ans, tandis que la guerre sévissait de l’autre côté du Rhin, ce n’étaient dans nos provinces de l’est que fêtes triomphales. Au moment même où les généraux du roi Guillaume arrivaient en vainqueurs jusqu’aux faubourgs de Vienne, l’impératrice des Français faisait avec son fils une pompeuse promenade à travers les villes de Lorraine. Pendant que l’Allemagne fondait son unité au prix de sanglantes convulsions, on célébrait à Thionville, à Lunéville, à Nancy, le centenaire de l’incorporation des états de Stanislas à l’unité française. On se souciait peu alors que Vogel de Falkenstein eût frappé Francfort d’une contribution de 100 millions, ou plutôt on ne se souvenait des victoires et des exactions de l’armée prussienne que pour acclamer avec plus de passion « l’indestructible unité française. » Il y avait comme un défi à la Prusse dans l’empressement qu’on mettait à marier au drapeau tricolore les vieilles couleurs de Lorraine. Le Prussien pouvait bien prendre Hanovre, Cassel, Francfort ; mais il n’aurait pas Thionville, il n’aurait pas Metz, il ne verrait pas Nancy ! Un certain enthousiasme patriotique, un certain entraînement populaire animait ces solennités officielles ; ce fut précisément l’habileté du gouvernement impérial de faire coïncider un voyage dynastique avec la célébration d’un grand anniversaire national, qui empruntait aux circonstances un tel intérêt. Ce canon de réjouissance, auquel faisait écho, à ce moment même, le canon des batailles sur le Mein, imposait silence aux rancunes des partis. L’arbitraire et la maladresse de l’administration ne réussirent même pas à troubler cette fête ; un arrêté du préfet de Nancy qui interdisait une séance de l’académie de Stanislas, dans laquelle MM. Saint-Marc Girardin et de Broglie devaient prendre la parole, froissa quelques esprits indépendans, puis se perdit dans l’enthousiasme général. La manière dont les Allemands sont entrés à Nancy, le 12 août 1870, est bien connue ; la conduite de la municipalité a été appréciée ici même avec beaucoup d’équité. Le jour de l’apparition des quatre uhlans légendaires, le maire de Nancy eut une entrevue avec le chef du corps allemand, campé à l’extrémité du faubourg septentrional. On l’avertit qu’une armée nombreuse arrivait, qu’il pouvait épargner à Nancy le passage des troupes en versant 50,000 fr. des deniers de la ville et 300,000 francs des caisses de l’état. Sur l’assurance que celles-ci étaient parties, le commandant prussien déclara se contenter des 50,000 francs, mais imposa en même temps une formidable réquisition de 1,060,000 livres de pain, 134,000 livres d’avoine, 250,000 litres de vin, etc. Où l’on put commencer à se faire une idée de la bonne foi prussienne, c’est lorsque le lendemain, 13 août, malgré cette extorsion d’argent, qualifiée d’ailleurs plus tard de frauduleuse par le prince royal, qui ne fit rien pour l’amender, on vit des bandes de 4, de 8, de 15 cavaliers entrer en ville et la parcourir en tout sens. Beaucoup parmi eux furent reconnus pour avoir été employés dans les usines et les mines du voisinage. Aussi ne demandèrent-ils à personne leur chemin pour chevaucher les uns vers la gare, les autres vers l’arsenal, d’autres vers la citadelle, deux noms qui malheureusement dans le Nancy moderne ne font que rappeler les souvenirs d’un autre âge. La présence de ces cavaliers, insuffisante pour contenir la population, était plus que suffisante pour l’exaspérer ; un instant on put craindre un conflit. Enfin le 14 août, une masse énorme de troupes prussiennes, cavalerie, infanterie, artillerie, en rangs serrés, en ordre parfait, envahit Nancy. Il est impossible de donner un chiffre exact, car, au lieu de demander des billets de logement, les officiers se bornèrent à compter les fenêtres et à pousser leurs hommes dans chaque maison, par bandes de 10, de 20, de 40, leur laissant le soin de se débrouiller avec l’habitant. Il entra ce jour-là dans Nancy peut-être 30,000 hommes ; un nombre égal ou même supérieur couvrait les routes, et occupait les villages des environs. Pour la première fois, on apprit à connaître ces hussards qui portent à leur colback une tête de mort sur des os croisés ; ces cuirassiers, au casque pointu d’acier argenté, aux longues bottes montantes sur des culottes blanches, à la tunique blanche, semblable au justaucorps en buffle du XVIIIe siècle, sur laquelle se sangle la cuirasse : vivante image des reîtres antiques ; ces agiles uhlans, à la schapska polonaise, à la longue lance, parée des funèbres couleurs de la Prusse, noire et blanche ; cette infanterie sombre et pesante, à qui son casque donne l’air belliqueux, et qui s’enlève d’un pas lourd et cadencé, aux sons du fifre et du tambourin ; enfin les mystérieux canons d’acier, soigneusement enveloppés d’une gaîne de cuir. Le 17 août, après les Prussiens, vinrent les Bavarois, ces Allemands méridionaux, aux couleurs plus gaies, à l’uniforme bleu de ciel, au suranné casque à chenille, qui portent à leur boutonnière, attaché à une houppe verte, le sifflet de ralliement, mais qui se laissent arracher les épaules par un sac mal équilibré. Pendant des semaines entières, les régiments bleus succédaient aux régiments bleus de ciel. Le prince royal fixa son quartier-général à Nancy, le roi Guillaume à Pont-à-Mousson. L’armée qui vainquit à Sedan et qui investit Paris passa tout entière, une masse de plus de 400,000 hommes, par Nancy et le communes voisines. (La Lorraine sous le régime prussien. — Les Allemands à Nancy. Alfred Rambaud. 1871) Dragoner-Regt. 4 oder 8 Theodor Clarman von Clarenau a servi en 1866 comme sous-lieutenant dans le 15e régiment d'infanterie bavaroise et a été tué au combat de Zella le 4 juillet 1866. Bavarois, juillet 1870 Les casques et coiffures de la guerre de 1870/71 4 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted August 14, 2023 Share Posted August 14, 2023 Fähnrich Hans Krieger, Gumbinnen (heute Gusjew, Kreis Kaliningrad), Ostpreußen. CDV. Foto in Uberrock (Gehrock) mit einem IOD89 Degen. Dem handschriftlichen Vermerk auf der Rückseite zufolge handelt es sich um einen Offizier des Jäger-Bataillons Graf York von Wartenburg (Ostpreußisches) Nr. 1 aus Ortelsburg (heute Szczytno). Das Foto wurde am 3. Oktober 1904 aufgenommen. Atelier - Marie Samuelsen, geb. Ostermayer, Gumbinnen. 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gildwiller1918 Posted August 15, 2023 Author Share Posted August 15, 2023 Interesting photo with a captured Lewis gun. 5 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted August 16, 2023 Share Posted August 16, 2023 Burg Hohenzollern : Seit dem 1.April 2023 haben sich zu der preußischen Königskrone Kaiser Wilhelm II. - die dauerhaft bei uns ausgestellt ist - die beiden Kronen des ersten preußischen Königspaares aus dem Jahr 1701 gesellt. Gleichzeitig zogen auch das Brandenburgische Kurschwert aus dem Jahr 1459 und das Preußische Reichsschwert von 1541 in die Schatzkammer ein. Bis Herbst können so zum ersten Mal alle fünf Exponate des Preußischen Kronschatzes als Ensemble besichtig werden. 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gildwiller1918 Posted September 30, 2023 Author Share Posted September 30, 2023 Here are some recent post cards I found, both unused. 5 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted October 18, 2023 Share Posted October 18, 2023 2. Pommersches Ulanen-Regiment 9, Demmin, officer 1906 Kriegsbeginn 1914, Aufstellung auf dem Markt von Demmin Fernpatrouille Holstein des UR 9 im Jahr 1915. Bis zu 100 Kilometer vor den eigenen Linien war der Reitertrupp 1915 im Kurland als Aufklärungstrupp unterweges - und mit Erfolg und Rückkehr abgeschlossen 1917 wurden die Pferde aus dem Bestand des 2. Pommerschen Ulanenregimentes Nr. 9 für immer abgegeben. Mehrere Offiziere meldeten sich zur gerade entstehenden Luftwaffe - um nicht zur Infanterie zu müssen. Nach über 400 Feindflügen fiel Leutnant Günther von Oertzen im April 1918 an der Westfront als Flieger. Ulanen-Tag, Demmin, 1934 Restaurant am Wilhelmsplatz 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gildwiller1918 Posted November 5, 2023 Author Share Posted November 5, 2023 WW1 German Stick Grenades used in an anti-armor role, note the different arraignment of the explosive heads. 5 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted December 30, 2023 Share Posted December 30, 2023 Neues Palais, 1910 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted January 3 Share Posted January 3 Ltn. Josef Jacobs, Staffelführer of Jasta 7 (15 May 1894 – 29 July 1978) 6 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted January 4 Share Posted January 4 Richthofens Dreidecker, destroyed in the bombing in 1944 4 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted January 7 Share Posted January 7 Prisoners from Vimy Ridge, April 1917 Hitler at Vimy, 1940 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted January 8 Share Posted January 8 Postcard of a German soldier mourning the death of a comrade by his grave, 1915. . Soldiers in the First World War suffered in a myriad of ways. Something that soldiers from all wars in history can experience is losing a brother-in-arms in war, which the average frontline soldier from the First World War frequently suffered from. . Danish-German soldier Hans Petersen from the 86th Füsilier Infantry Regiment reported on the loss of a comrade at Moulin-sous-Touvent on January 7, 1915, today 109 years ago. Translated by myself: ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ "7th January 1915. . On this day, one of my great comrades fell, Lorens Meyer from Flensburg. One hour before he was killed, I visited him in his dug-out to borrow my dear "Flensburg Newspaper" from him. Lorens was a fine Danish man. He was tough, and with his chubby and red cheeks and his bold character, he was a prime example of a good Dane. . He was troubled a lot by participating in this war and repeatedly posed the question: "How long will this war last? Who will win? What shall our destiny be after the war?" . He suffered more and more for every day that passed. An hour following my visit he was struck by shrapnel to the head and died at once. He fell upon returning from his duty on the frontlines of Moulin-sous-Touvent, a duty which he took care of so conscientiously, despite personally being opposed to the war. . We buried him in the town of Moulin-sous-Touvent where the birds sit and sing above his grave. With the face turned northwards towards his home and loved ones, he rests here. . Sigh! God recalled him in the midst of his youth. Now we mourn him, he was for all of us an affectionate comrade. All honour to his memory!" 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted January 9 Share Posted January 9 IVRAMENTVM · FIDELITATIS · IUVENVM · AD · IMPERATOREM · ET · PATRIAM · I · IANVARII · A · D · MCMXVIII Young officers of Austro-Hungarian army swearing oath of allegiance to the flag before being sent to the fronts of the WW1, Vienna Military Academy, 01. I 1918 Junge Offiziere der österreichisch-ungarischen Armee schwören vor der Flagge den Treueeid auf den Kaiser und das Vaterland, bevor sie an die Fronten des Ersten Weltkriegs geschickt werden, Wiener Militärakademie, 01. I 1918 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted January 16 Share Posted January 16 Danish-German soldier Chresten Lysbeck fought as a stretcher-bearer with the 13th Reserve-Sanität Company. On January 16, 1918, today 106 years ago, he wrote the following diary entry about his experiences on stretcher duty. Translated by myself: ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ "One day the air got heated. Whilst we loaded the wagon with the wounded all was calm, but suddenly the Brits aqquired a distaste for the German field artillery and sent shell after shell. There was nothing for us to do but to calmly stay with the wounded in the wagon until the storm had passed. . Suddenly the shelling struck right behind us, but soon it had passed the artillery placement. The Brits were welcome to shell beyond us, and all was well until we reached a graveyard. There a shell struck down right next to the wagon, but the earth mushy, thus it showered a cloud of mud above both wagon and horse, but that was fortunately the extent of it. . At times the night shifts weren't amusing. One night a horse got stuck in a shell-hole, another horse was dislodged from the wagon, which was dragged out in a ditch. The pioneers, who improved the roads at night, had almost dismembered the horse in the shell-hole and afterwards earth and rocks were thrown on top, so not a long time was spent on such events. . There was also one night when we were returning from that cemetery, which had been shelled. That I too got stuck in a shell-hole with my wagon, but I got out of it again. I couldn't understand what was giving my rear wheels resistance, but then I discovered that there were some dead comrades on the road, and they were the ones the wheels were attempting to go over." 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted January 25 Share Posted January 25 Johann Gottfried Piefke (1815–1884) Der preußische Militärmusiker Johann Gottfried Piefke. Der Sohn eines Brandenburger Stadtmusikers machte eine beachtliche Karriere, die ihn vom einfachen Militärmusiker schließlich zum Königlichen Musikdirektor machte (- sein militärischer Dienstgrad blieb allerdings der eines Feldwebels). Piefke ist so etwas wie der „Godfather of German Marschmusik“ – viele seiner Kompositionen sind heute zumindest noch Blaskapellen und Spielmannszügen bekannt. Er schrieb den Marsch „Preußens Gloria“, den „Königgrätzer Marsch“ und den „Düppeler Schanzen-Marsch“. Letzterer ist unser Link nach Schleswig-Holstein, denn Piefke soll am 18. April 1864 mit seinem Orchester den Sturmangriff auf die dänischen Schanzen begleitet haben. (Seinen „Schanzen-Marsch“ spielte er damals nicht, den komponierte er nach der Schlacht). Piefke hatte einen Bruder – Rudolf –, ebenfalls Militärmusiker und stattliche 1,90 m groß. Beide gehörten zu einer preußischen Abordnung, die 1866, nach dem Sieg über Österreich, nahe von Wien eine Siegesparade abhielten – die Zuschauer sollen beim Anblick der beiden Brüder „Die Piefkes kommen!“ gerufen und damit den bis heute von Österreichern etwas abfällig gemeinten Spitznamen für die Deutschen geprägt haben. Piefke machte auch den letzten der preußischen Kriege von 1870/1 mit und wandte sich nach dem Ende seiner Militärzeit der klassischen Musik zu. Er wurde in seiner Heimatstadt Frankfurt an der Oder begraben. 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted January 26 Share Posted January 26 Parade des II. Armee-Korps bei Berlin, um 1910 Picture title stated as above, however, II. Armee-Korps had white shoulder straps! More likely III. Armee-Korps 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fritz Posted January 28 Share Posted January 28 Major d.R. v. Puttkamer, Kommandeur, III. J.R.332 found near Daugavpils, Latvia 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
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